Les équipes du Groupe Jean Nonet

Aujourd’hui, je me sens bien, dans une entreprise qui grandit de manière réfléchie et qui garde sa dimension humaine. J’ai confiance en l’avenir et dans les décisions de nos patrons. J’apprécie la dynamique avec les différents départements de l’entreprise et le travail au quotidien avec mes collaboratrices directes. Mon souhait pour demain, c’est de garder l’équilibre entre développement et ambiance familiale.

J'aime mon travail au quotidien, les défis et la possibilité d'évoluer. C'est ce qui s'est passé en 10 ans. On a eu de grands changements, une grande évolution. L'agrandissement de la société est vraiment chouette. J'ai des milliers de souvenirs plein la tête. 

C’est une belle évolution ! On a d’abord commencé par des petits contrats avec Electrabel Mons, Aquasambre (SWDE maintenant) et un peu de Belgacom (Proximus). On a surtout senti une grosse progression lorsque l’on a commencé un partenariat en 2004 pour la fibre optique. Et puis, en 2007 aussi avec l’arrivée de François, cela nous a ouvert beaucoup de travaux, aussi dans le secteur privé. (Sur le mariage entre C&T et Nonet) J’avais quelques craintes au début mais au final c’est une bonne chose. Nonet vient compléter les valeurs de C&T et, soyons un peu chauvin, je suis content que ce mariage soit avec une société wallonne !.

La direction a toujours été super avec moi en toute circonstance, que ça soit Claire, Marie, François ou Simon. Je trouve qu’il y a une ambiance familiale. Quand je vois certains de mes amis qui sont dans le bâtiment, ils ne sont pas aussi bien qu’ici.

J'ai été engagé en 2007 comme manoeuvre en voirie. Au fil du temps, j’ai franchi les étapes. Je suis passé ouvrier puis chef d’équipe. Un jour, il y a eu une formation en interne pour devenir conducteur de chantier. Moi, j’ai préféré devenir deviseur. Depuis, je travaille au bureau d'étude. Après 15 ans, je vois bien l’évolution chez Nonet : l’agrandissement, le personnel, les locaux, le matériel... C’est une évolution pour aller toujours vers un mieux, et toujours en donnant l’opportunité à tout le monde d’évoluer.

Ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir évoluer dans son métier. Je remercie Simon pour la chance qu’on m’a donné. C’est une super entreprise où il y a de belles possibilités d’évoluer. C’est super enrichissant.

Il y a 15 ans, on arrivait encore à rentrer toutes les camionnettes dans l’atelier, et Simon était mon conducteur de chantier. Il y a eu une belle évolution depuis ! Malgré ça, il y a toujours moyen de discuter avec le patron. Et avec le développement de l’entreprise, il y a aussi moyen de pouvoir évoluer dans sa carrière. C’est un point fort chez Nonet.

Mon père travaillait chez Hublet. Je venais avec lui en camion et je me baladais. J’ai manié une grue pour la première fois quand j’étais enfant, avec le Grand Jules! Puis on est passé sous la bannière Nonet. Ça a été une très bonne reprise. On est très bien encadré chez Nonet et notre expérience est respectée, ça fait plaisir.

Le boulot que j’aime et l’esprit familial dans l’entreprise. J’ai même pu travailler avec mon père avant sa pension. Il y a une bonne entente et on se sent écouté quand il y a un problème.

Je me rappelle de notre voyage à Dublin, pour voir la machine à traiter la chaux. Jean-Jacques Nonet (patron à l'époque) nous a demandés à plusieurs reprises si nous étions sûrs de notre coup. L’investissement était important. On voit bien aujourd’hui que ça a marché ! C’est ça que j’aime : on a réussi à relever les défis et à atteindre les résultats. C’est super positif. On essaie de toujours aller plus loin.

Mon meilleur souvenir? C'est lors de la préparation des 60 ans. Quand on a fini de tout installer et que j'ai vu tout le matériel bien rangé. Ça représentait notre travail. J'aime avoir vu grandir l'entreprise. J'aime l'esprit de famille et le dynamisme de la nouvelle génération.

Il y a une dizaine d’années, j’ai dû subir une opération pour libérer ma moelle épinière. Sans ça, je n’aurais plus su marcher. Mais après l’intervention, j’ai été interdit de monter sur machine. Comme j’étais l’un des plus anciens, on m’a proposé de suivre les chantiers de Gérard et de faire les essais de pressions. Je suis fier de l’entreprise. Ils sont familiaux et à l’écoute. On a pu trouver une solution pour que je continue mon travail et aujourd’hui je me sens bien.

Je retiens l’anniversaire des 60 ans de l’entreprise, mais aussi les voyages qu’on a fait tous ensemble à Marrakech et en Tunisie. On était parti une semaine pour faire du teambuilding et des visites avec nos conjoints. C’était extraordinaire de partir tous ensemble et de déjeuner le matin avec son patron. Ça renforce les liens. Cet esprit est toujours bien là. Claire et Simon discutent toujours avec nous. Ils sont bienveillants. C’est aussi pour ça qu’on travaille comme si c’était pour nous. Ici, personne ne dit "Je m’en fous".